8 h 45, les vrombissements des bécanes remontent du chemin Neuf jusqu'à la place. Les hommes en jaune de Bike week font ranger les deux-roues en alignement impeccable. Une dizaine de trikes termine le cortège. Quelques minutes plus tard, sur une place remplie, un petit-déjeuner festif est organisé par les motards des Hauts-Cantons avec l'aide de la municipalité. Entre deux cafés, Jako, de Barbentane, arbore fièrement le chapelet de ses participations : dix au total, c'est déjà un vétéran. A ses côtés, des Ch'tis d'Armentières confient : « Nous trouvons ici la bonne humeur et la solidarité. »En présence du conseiller général, Jean-Luc Falip, et du président des MHC, Philippe Rouquette, le maire du village Pierre Bernard et le président des Brescoudos s'échangent la médaille de la ville
et l'emblème de l'association.
Passe alors Colette que tous reconnaissent grâce à son prénom inscrit au dos de son blouson de cuir. Elle témoigne : « Je viens de Figeac et, avec mon mari, nous partageons la même passion. Alors on ne manque pas cette randonnée. » Loulou, lui, est coiffé d'une casquette de l'armée américaine et a enfilé un tee-shirt de biker. Et même s'il habite sur la place, il participe : « Je m'habille en fonction des manifestations. » Laurent, un autre Hérépiannais, est un passionné de photos. Tantôt accroupi, tantôt assis, c'est dans les chromes étincelants qu'il cherche le cliché insolite. Plus loin, voilà quatre joyeux Piscénois tout de noir vêtus et coiffés d'un foulard de pirate : « Nous sommes un peu les régionaux de l'étape ! », s'exclament-ils.
Il est 10 h 30, les quelque deux cents bikers reprennent leur chemin en direction de Roujan. Fermant la marche, les trikeurs saluent amicalement la population qui les attend de pied ferme l'an prochain.
et l'emblème de l'association.
Passe alors Colette que tous reconnaissent grâce à son prénom inscrit au dos de son blouson de cuir. Elle témoigne : « Je viens de Figeac et, avec mon mari, nous partageons la même passion. Alors on ne manque pas cette randonnée. » Loulou, lui, est coiffé d'une casquette de l'armée américaine et a enfilé un tee-shirt de biker. Et même s'il habite sur la place, il participe : « Je m'habille en fonction des manifestations. » Laurent, un autre Hérépiannais, est un passionné de photos. Tantôt accroupi, tantôt assis, c'est dans les chromes étincelants qu'il cherche le cliché insolite. Plus loin, voilà quatre joyeux Piscénois tout de noir vêtus et coiffés d'un foulard de pirate : « Nous sommes un peu les régionaux de l'étape ! », s'exclament-ils.
Il est 10 h 30, les quelque deux cents bikers reprennent leur chemin en direction de Roujan. Fermant la marche, les trikeurs saluent amicalement la population qui les attend de pied ferme l'an prochain.